Statistique médicale 2019 de la FMH: forte dépendance de l’étranger

FMH
Édition
2020/13
DOI:
https://doi.org/10.4414/bms.2020.18725
Bull Med Suisses. 2020;101(13):450-455

Affiliations
a Dre sc. EPFZ, division Données, démographie et qualité (DDQ) de la FMH; b lic. rer. oec., cheffe, division Données, démographie et qualité (DDQ) de la FMH

Publié le 24.03.2020

La division Données, démographie et qualité (DDQ) publie tous les ans les chiffres actuels de la statistique médicale. Les statistiques des années 1940 à 2019 et le ­moteur de recherche sont accessibles en ligne*. La statistique médicale permet de visualiser les évolutions et sert de réservoir d’informations pour les milieux politiques, la recherche, les acteurs de la santé et le grand public.

Nombre total de médecins ­et secteur d’activité

En 2019, 37 882 médecins (16 372 femmes, 21 510 hommes) exerçaient en Suisse, soit 357 de plus que l’année pré­cédente (+ 1%). Cette hausse est cependant beaucoup moins marquée que les années précédentes (2018: 625; 2017: 725; 2016: 850; 2015: 977). En additionnant tous les taux d’activité, l’ensemble des médecins atteint un nombre d’équivalents plein temps (EPT) de 33 486 (un EPT correspond à env. 55 heures hebdomadaires, 2018: 33 164) (fig. 1).
Figure 1: Nombre de médecins d’après l’année et le sexe 2009–2019.
En Suisse, la densité médicale est de 4,4 médecins pour 1000 habitants (3,9‰ en EPT). Elle est donc supérieure à la moyenne de l’OCDE (3,6‰) tout en restant comparable à celle de ses pays voisins (Allemagne: 4,2; Autriche: 5,1; France: 3,1; Italie: 4,0) [1].
Si 19 706 médecins (2018: 19 331) exercent principalement dans le secteur ambulatoire (tab. 1), ils sont quand même 17 594 (2018: 17 609) dans le secteur hos­pitalier. Sans tenir compte du taux d’activité, on remarque que, par rapport à l’année précédente, le nombre de médecins n’a augmenté que dans le secteur ambulatoire, et qu’il a même diminué de 15 médecins dans le secteur hospitalier. La part de femmes médecins (47%) dans ce même secteur est supérieure à celle du secteur ambulatoire (40%) (fig. 2). Enfin, 1,5% des médecins exerce dans un autre secteur (ni ambulatoire ni hospitalier).
Figure 2: Répartition des médecins par secteur et par sexe en 2019.
Tableau 1: Nombre de médecins et équivalents plein temps (EPT) par sexe et par secteur (activité principale) en 2019.
 FemmesHommesTotalEPT
Secteur ambulatoire7 91511 79119 70616 008
Secteur hospitalier8 2609 33417 59416 716
Autre197385582494
Total16 37221 51037 88233 486

Pyramide des âges et structure 
selon le sexe

En 2019, l’âge moyen des femmes médecins en Suisse s’élève à 46,3 ans contre 52,6 pour les hommes. Il est en moyenne supérieur de 10 ans dans le secteur ambu­latoire (54,9 ans contre 44,0 ans dans le secteur hospitalier). La différence d’âge entre les deux secteurs s’explique principalement par la formation postgraduée des médecins qui se déroule majoritairement dans les hôpitaux.
Avec 54,2 ans (femmes: 50,2 ans; hommes: 57,2 ans), l’âge moyen des médecins ambulatoires de soins primaires est comparable à celui des médecins spécialistes exerçant en ambulatoire (moyenne: 54,4 ans; femmes: 52,9 ans; hommes: 57,0 ans).
Dans le secteur hospitalier, la moyenne d’âge des médecins assistant-e-s est de 34,7 ans, des chef-fe-s de clinique de 46,2 ans, des médecins adjoint-e-s de 49,3 ans et des médecins-chef-fe-s de 55,6 ans.
Près de 34% des médecins du secteur ambulatoire ont au moins 60 ans contre 10% dans le secteur hospitalier (cf. fig. 3).
Figure 3: Pyramide des âges selon le sexe et le secteur en 2019.

Formation prégraduée et postgraduée

En 2019, 4955 personnes étaient inscrites à une formation bachelor (1786 hommes, 3169 femmes) et 3322 à une formation master (1366 hommes, 1956 femmes) en médecine humaine [1].
De plus, 1089 personnes ont obtenu leur diplôme fédéral en médecine humaine en 2019. La même année, la Commission des professions médicales (MEBEKO) a reconnu 2940 diplômes de médecin étrangers [2] (fig. 4).
En outre, 1334 médecins ont obtenu un titre fédéral de spécialiste (dont 56,5% de femmes) et la MEBEKO a reconnu 1366 titres de spécialiste étrangers [3] (fig. 4). Au moment de terminer leur formation postgraduée ou plus exactement d’obtenir leur premier titre de spécialiste, les médecins sont âgés en moyenne de 36,0 ans (35,8 ans pour les femmes et 36,3 pour les hommes). La part de titres délivrés dans les disciplines généralistes (médecine interne générale, pédiatrie et titre de médecin praticien) atteint 37,4%.
Figure 4: Aperçu du nombre de diplômes et de titres fédéraux octroyés et du nombre de diplômes et de titres étrangers reconnus en 2019.
Source: ISFM/FMH et OFSP
Enfin, 43,4% des médecins qui ont obtenu un titre de spécialiste fédéral en 2019 sont au bénéfice d’un diplôme de médecin étranger. Ils viennent des pays suivants: Allemagne 45,9%, Autriche 14,2%, Italie 9,3%, Grèce 7,1%, France 5,9% (autres pays 17,6%).
Tableau 2: Aperçu du nombre de médecins par discipline (activité principale) en 2019.
 FemmesHommesTotal
Médecine interne générale3 5234 7648 287
Psychiatrie et psychothérapie1 6812 1673 848
Pédiatrie1 2207001 920
Gynécologie et obstétrique1 2167011 917
Anesthésiologie7058531 558
Médecin praticien7248291 553
Chirurgie orthopédique1211 0701 191
Chirurgie2908981 188
Ophtalmologie4546101 064
Radiologie285636921
Cardiologie172656828
Pédopsychiatrie457243700
Médecine intensive239438677
Neurologie221415636
Dermatologie et vénéréologie303293596
ORL152358510
Rhumatologie139312451
Gastroentérologie80337417
Oncologie médicale163213376
Urologie55313368
Pneumologie88242330
Pathologie125128253
Néphrologie98145243
Méd. physique et réadaptation78162240
Endocrinologie/diabétologie108125233
Neurochirurgie34188222
Chirurgie plastique66155221
Infectiologie86129215
Hématologie84126210
Chirurgie de la main53150203
Angiologie51145196
Allergologie/immunologie63103166
Médecine du travail4885133
Radio-oncologie/radiothérapie5281133
Chirurgie pédiatrique415899
Chirurgie orale et maxillo-faciale79097
Chirurgie vasculaire117182
Médecine nucléaire186280
Chir. cardiaque, vasc. et thorac.106777
Prévention et santé publique323264
Médecine légale332861
Chirurgie thoracique34043
Pharmacol. et toxicol. cliniques212142
Médecine pharmaceutique152742
Méd. tropicale et des voyages82836
Génétique médicale161228
Neuropathologie21113
Sans discipline principale2 9212 1935 114
Total 16 37221 51037 882

Disciplines médicales

La médecine interne générale est la spécialisation la plus répandue (21,9% des médecins en exercice), suivie de la psychiatrie et psychothérapie (10,2%), de la gynécologie et obstétrique (5,1%), de la pédiatrie (5,1%) et de l’anesthésiologie (4,1%).
Les spécialisations dans lesquelles la part de femmes est la plus élevée sont la psychiatrie et psychothérapie de l’enfant et de l’adolescent (65,3%), la pédiatrie (63,5%) et la gynécologie et obstétrique (63,4%). Les hommes sont plus nombreux que les femmes dans les spécia­lisations chirurgicales (chirurgie thoracique 93,0%, chirurgie orale et maxillo-faciale 92,8%, chirurgie orthopédique 89,8%, chirurgie cardiaque et vasculaire thoracique 87,0%, chirurgie vasculaire 86,6%, urologie 85,1% et neurochirurgie 84,7%).
3753 médecins hommes et 1672 médecins femmes ont obtenu plusieurs titres. Le titre le plus fréquent parmi eux est celui de médecine interne générale (3827). On retrouve le plus grand nombre de porteurs de plusieurs titres en cardiologie (628), médecine intensive (624) et rhumatologie (374).

Diplômes étrangers

Pas moins de 13 755 médecins (36,3%) en exercice dans notre pays sont d’origine étrangère (titulaires d’un diplôme de médecin étranger). Par rapport à l’année précédente, ce pourcentage a augmenté de 0,9 point de 35,4 à 36,3% (fig. 5). Dans le secteur ambulatoire, la part de médecins étrangers se monte à 32,7% contre 40,2% dans le secteur hospitalier. Avec respectivement 45,3 et 47,3% dans les secteurs ambulatoire et hospitalier, la part des femmes au bénéfice d’un diplôme de médecin étranger est inférieure à celle des hommes dans les deux secteurs (54,7 et 52,7%). La majorité des médecins étrangers provient d’Allemagne (53,4%), d’Italie (8,9%), de France (6,9%) et d’Autriche (6,0%).
Figure 5: Médecins au bénéfice d’un diplôme de médecin étranger qui exercent en Suisse en 2019.

Taux d’activité

Les médecins ont travaillé en moyenne 8,8 demi-journées (1 demi-journée = 4 à 6 h) par semaine en 2019, ce qui correspond à un temps de travail hebdomadaire de 48 heures1. Dans le secteur ambulatoire, le taux d’activité moyen est de 8,1 demi-journées, soit plus d’une demi-journée de moins que dans le secteur hospitalier (9,5 demi-journées). Le taux d’occupation moyen des femmes médecins (en ambulatoire: 7,0; en hospitalier: 8,9 demi-journées) est nettement inférieur à celui de leurs collègues masculins (en ambulatoire: 8,7; en hospitalier: 10,0 demi-journées) (tab. 3). La majorité des médecins exerçant à l’hôpital ont un taux d’activité de 90% ou plus (fig. 6), tandis que la moitié des médecins du secteur ambulatoire exerce à moins de 90% (équivalents plein temps 55 h/hebdo.).
Figure 6: Taux d’activité des médecins par secteur en 2019.
Tableau 3: Taux d’activité par secteur et par sexe en 2009 et 2019.
  FemmesHommesTotal
  200920192009201920092019
SecteurAmbulatoire6,97,09,18,78,68,1
 Hospitalier8,78,910,110,09,89,5
 Autre7,67,78,28,78,08,3
 Total 7,47,69,49,28,98,8

Fonction et structure des cabinets

Pas moins de 81,8% des 19 706 médecins du secteur ambulatoire sont propriétaires ou propriétaires associés de leur cabinet médical. 7,0% sont engagés en tant qu’assistant-e ou spécialiste au cabinet médical. Les 12,2% restants exercent d’autres fonctions (p. ex. direction, remplacement dans un cabinet, etc.). Avec 52,2%, le groupe des médecins en formation (médecins-assistant-e-s) est le plus important du secteur hospitalier. Dans ce même secteur, comme on peut s’y attendre, le nombre de médecins occupant un poste à responsabilité diminue plus le degré hiérarchique est élevé. Le taux de chef-fe-s de clinique est de 18,6%, de médecins adjoint-e-s de 12,5% et de médecins-chef-fe-s de 8,9%. Le nombre de femmes prédomine uniquement chez les médecins-assistant-e-s (58,9%), et ne fait ensuite que dimi­nuer pour atteindre 47,2% chez les chef-fe-s de clinique, 26,7% chez les médecins adjoint-e-s et 12,8% chez les médecins-chef-fe-s.
Dans le secteur ambulatoire, les médecins exercent principalement en cabinet individuel (50,3%). Depuis 2009, ce taux a diminué de 13%. Les femmes exercent un peu plus rarement en cabinet individuel (42,4%) qu’en cabinet double ou de groupe (57,6%). Chez les hommes, la part de médecins dans un cabinet individuel est légèrement plus élevée (55,3%). Enfin, un cabinet de groupe compte en moyenne 4,3 médecins.

Renforcer la qualité des soins médicaux

34% des médecins qui exercent en cabinet sont âgés de 60 ans et plus. La densité médicale stagne et, aujourd’hui déjà, notre système est tributaire des médecins au bénéfice d’un diplôme obtenu à l’étranger. Dans le même temps, la population vieillit, elle est plus vulnérable et le nombre de patients augmente en conséquence. Il est donc nécessaire de prendre des mesures afin de pouvoir répondre à cette hausse de la demande en prestations de santé. Une approche possible est de renforcer la formation prégraduée et postgraduée des spécialistes en Suisse. Une autre pourrait consister à encourager les médecins à ne pas abandonner leur ­activité auprès des patients en proposant des modèles de travail adaptés (p. ex. partage de poste, temps partiel).
Il ne s’agit pas seulement de couvrir le besoin supplémentaire en prestations médicales par davantage de personnel de santé spécialisé mais aussi de mieux cibler la prise en charge médicale. Le potentiel d’amélioration des soins doit être identifié et exploité.
L’amélioration de la prise en charge médicale et le renforcement de la qualité en médecine sont inscrits dans la loi. Suite à la révision partielle de la loi sur l’assurance-maladie, les organisations des fournisseurs de prestations et celles des assureurs devront conclure dès 2021 des conventions sur le développement de la qualité (conventions qualité) [4]. Dans le cadre du groupe de travail Qualité FMH/assureurs (GTQ FMH/assureurs), l’Académie suisse pour la qualité en médecine (ASQM) et les associations d’assureurs santésuisse et curafutura ont lancé un projet pilote pour promouvoir la qualité et la transparence dans le secteur ambulatoire.
Les membres des organisations médicales impliquées exerçant dans le secteur ambulatoire publient sur www.doctorfmh.ch les activités qualité recommandées qu’ils mettent en œuvre et garantissent ainsi la transparence vis-à-vis du grand public, des milieux ­politiques et des assureurs (www.fmh.ch → Thèmes → Qualité/ASQM → Projets → Activités qualité dans le secteur ambulatoire).
Ces prochaines années, grâce aux données de la sta­tistique médicale et aux projets qualité, la FMH continuera de s’investir conjointement avec d’autres par­tenaires en faveur de la transparence dans le système de santé et d’une prise en charge médicale de qualité élevée à même d’utiliser les ressources de manière efficace.
Poster clair et compact: si vous souhaitez avoir un aperçu de la statistique médicale de la FMH sous forme compacte, ­n’hésitez pas à commander le poster à l’adresse www.fmh.ch ou par courriel à ddq[at]fmh.ch

Base de données

La statistique médicale de la FMH est établie en fin d’année (jour de référence: 31 décembre de l’année concernée). La banque de données de la FMH (n = 37 882) contient les caractéristiques principales de la démographie médicale telles que l’âge, le sexe, la nationalité et le lieu où les médecins exercent leur profession. Les données concernant l’activité professionnelle (taux d’activité, structures des cabinets, etc.) reposent sur les données autodéclarées recueillies au moyen d’un questionnaire sur le portail des membres myFMH (échantillon myFMH). Ce sondage a été réalisé pour la première fois en 2008 avec une participation de 2564 médecins. Depuis cette date, le nombre de participants augmente chaque année en moyenne de près de 1400 médecins. En 2019, cet échantillon myFMH contient les données de plus de 17 803 médecins, qui ont été comparées aux données de l’ensemble de la population de médecins en exercice en Suisse (sexe et secteur). On a ainsi constaté que le secteur hospitalier et les femmes du secteur hospitalier étaient sous-représentés dans l’échantillon (différence >10% par rapport à l’ensemble de la population). Pour minimiser ce biais, les chiffres par secteur et par sexe ont été analysés séparément ou pondérés en conséquence.
Glossaire (par ordre alphabétique)
Activité principaleEst considéré comme activité principale le secteur dans lequel le médecin exerce la majeure partie de son activité (secteur ambulatoire, hospitalier ou autre).
Autre secteurFont partie d’un autre secteur les activités de médecins ne relevant ni du secteur ambulatoire ni du secteur hospi­talier, p. ex. les médecins engagés par des assurances, par l’administration publique (cantonale/fédérale) ou par l’industrie.
Cabinet à deux médecins ou de groupeUtilisation d’appareils, d’équipements ou de locaux par deux ou plusieurs médecins.
Cabinet individuelUtilisation d’appareils, d’équipements ou de locaux par un seul médecin.
CantonLe canton pris en compte est celui dans lequel le médecin exerce son activité principale. S’il n’a rien indiqué ­à ce ­sujet, c’est le canton de l’adresse de contact qui est pris en compte.
Discipline principaleLa discipline principale d’un médecin correspond au titre de spécialiste dans le cadre duquel il exerce la majeure ­partie de son activité médicale (d’après son autodéclaration et les règles prédéfinies).
Médecins du secteur ambulatoire, du secteur hospitalier ou d’un autre secteurMédecins qui exercent leur activité principale dans le secteur ambulatoire, le secteur hospitalier ou un autre secteur.
Médecins en exerciceLes médecins en exercice correspondent aux personnes qui ont terminé avec succès leurs études universitaires en médecine (avec ou sans formation postgraduée) et qui exercent dans le secteur ambulatoire, dans le secteur hospi­talier (y c. les médecins-assistants) ou dans un autre secteur (p. ex. administration, assurances) (source OFS).
Réseaux de médecinsLes réseaux de médecins sont des organisations formées par des prestataires de soins et assurant la couverture ­médicale. Sur la base d’une collaboration contractuelle tant mutuelle qu’avec des fournisseurs et des organismes extérieurs au réseau, ils fournissent des prestations de santé axées sur les besoins des patients. Cette collaboration repose sur un processus thérapeutique convenu par contrat, des structures organisationnelles entrepreneuriales et une culture commune de la prise en charge des patients.
Secteur ambulatoireFont partie du secteur ambulatoire les consultations données et les soins dispensés par des médecins en cabinet individuel ou de groupe. Les patients sont généralement traités de manière ambulatoire ou à leur domicile (visites à domicile). Font également partie du secteur ambulatoire les activités des médecins consultants privés dans les hôpitaux ou dans des dispensaires, des infirmeries ou des établissements analogues attachés à des entreprises, des écoles, des homes pour personnes âgées, des organisations syndicales et des confréries (cabinet médical indépendant ou semblable) (source OFS).
Secteur hospitalierFont partie du secteur hospitalier les traitements médicaux, diagnostics, soins, interventions chirurgicales, analyses, services d’urgence et activités de formation prégraduée, postgraduée et continue, etc., dans les hôpitaux. Font également partie du secteur hospitalier les foyers protégés avec un encadrement social 24 h sur 24 accueillant des enfants, des personnes âgées et des groupes de personnes dont l’autonomie est limitée (source OFS).
Taux d’occupationLe taux d’occupation est indiqué en demi-jours. Un demi-jour correspond à un volume de travail de 4 à 6 heures. Un équivalent plein temps correspond à 55 heures hebdomadaires environ.