Statistique médicale 2018 de la FMH

Statistique médicale 2018 de la FMH: peu de femmes aux postes de cadre

FMH
Édition
2019/12
DOI:
https://doi.org/10.4414/bms.2019.17687
Bull Med Suisses. 2019;100(12):411-416

Affiliations
a Dr sc. EPFZ, division Données, démographie et qualité (DDQ) de la FMH
b lic. rer. oec., cheffe de la division Données, démographie et qualité (DDQ) de la FMH

Publié le 20.03.2019

La division Données, démographie et qualité (DDQ) publie tous les ans les chiffres actuels de la statistique médicale. Les statistiques des années 1940 à 2018 et le mote­ur de recherche sont accessibles en ligne.* La statistique médicale permet de visualiser les évolutions et sert de réservoir d’informations pour les milieux politiques, la recherche, les acteurs de la santé et le grand public.

Augmentation du nombre de médecins

En 2018, 37 525 médecins (15 982 femmes, 21 543 hommes) exerçaient en Suisse, soit 625 de plus que l’année précédente, ce qui représente une densité médicale de 4,4 médecins pour 1000 habitants. En tenant compte du nombre d’équivalents plein temps (EPT), qui s’élève à 33 164 (un EPT correspond à 55 heures hebdomadaires) (fig. 1), la densité médicale atteint 3,9 médecins pour 1000 habitants.

En bref

La statistique médicale de la FMH fournit chaque année les chiffres actualisés des médecins en exercice en Suisse, dont les plus importants sont présentés ici: le nombre de médecins en exercice s’élève à 37 525 en 2018 et a progressé de 625 médecins par rapport à l’année précédente. La part de médecins étrangers a également augmenté (2018: 35,4%). Avec 1,25 médecin pour 1000 habitants, la densité de spécialistes installés en ambulatoire est nettement supérieure à la moyenne des médecins de soins primaires (0,95). Les données de la statistique médicale de la FMH permettent de planifier les besoins et donc de garantir l’accès aux soins primaires mais aussi aux prestations de médecine spécialisée.
Figure 1: Nombre de médecins d’après l’année et le genre 2008–2018.
19 331 médecins exercent principalement dans le secteur ambulatoire, 17 609 dans le secteur hospitalier et 1,6% des médecins dans un autre secteur (ni ambulatoire ni hospitalier) (tab. 1).
Tableau 1: Aperçu du nombre de médecins en exercice par genre et par secteur (activité principale) en 2018.
 FemmesHommesTotal 
 Nombre%Nombre%Nombre%EPT
Secteur ambulatoire7 54839,011 78361,019 33151,515 746
Secteur hospitalier8 23746,89 37253,217 60946,916 745
Autre19733,738866,35851,6495
Total15 98242,621 57357,437 525100,033 164

Les hommes sont en moyenne plus âgés que leurs consœurs

En 2018, l’âge moyen des médecins en Suisse s’élève à 49,6 ans (tab. 2). Il est en moyenne supérieur de 10 ans dans le secteur ambulatoire (54,8 ans contre 43,6 ans dans le secteur hospitalier). La différence d’âge entre les deux secteurs s’explique principalement par la formation postgraduée des médecins-assistants qui se déroule majoritairement dans les hôpitaux.
Tableau 2: Age moyen des médecins en exercice
selon le genre et le secteur en 2018.
 FemmesHommesTous
Secteur ambulatoire51,651,654,8
Secteur hospitalier40,546,343,6
Autre 52,558,456,4
Tous45,952,349,6
Avec 54,2 ans (femmes: 50,1 ans, hommes: 57,1 ans), l’âge moyen des médecins ambulatoires de soins primaires est comparable à celui des médecins spécialistes exerçant en ambulatoire (55,3 ans, femmes: 52,9 ans, hommes: 56,7 ans). Dans le secteur hospitalier en moyenne, les médecins-assistants sont âgés de 34,5 ans, les chefs de clinique de 45,4 ans, les médecins adjoints de 50,0 ans et les médecins-chefs de 55,1 ans.
Figure 2: Densité médicale en comparaison internationale.

Importantes différences régionales

La Suisse compte une densité médicale de 4,4 médecins pour 1000 habitants (3,9 si on considère les équivalents plein temps). Ce chiffre est supérieur à la moyenne de l’OCDE (3,6 médecins pour 1000 habitants) mais il est comparable à celui de nos pays voisins (Allemagne 4,2; Autriche 5,1; France 3,2; Italie 4,0) [1].
En Suisse, la densité médicale moyenne des médecins spécialistes installés en ambulatoire est, avec 1,26 médecin pour 1000 habitants, supérieure à celle des médecins ambulatoires de soins primaires (0,95). La densité de spécialistes est particulièrement élevée dans les grandes villes et la densité diminue dans les deux catégories lorsque la taille de la commune diminue (tab. 3).
Tableau 3: Densités médicales des médecins de soins primaires et de médecins spécialistes par catégories de communes en 2017.*
 Secteur ambulatoire
 soins primairesspécialistes
≥100 000 habitants1,483,49
50 000–99 999 habitants1,482,57
20 000–49 999 habitants1,181,91
10 000–19 999 habitants1,041,54
5000–9999 habitants0,910,61
2000–4999 habitants0,720,26
1000–1999 habitants0,500,17
<1000 habitants0,230,11
Total 0,951,26
* Chiffres de l’OFS; ceux de 2018 ne sont pas encore disponibles.
Un coup d’œil sur la répartition géographique des méde­cins ambulatoires de soins primaires en Suisse montre qu’il existe des différences régionales (fig. 3) et que la densité médicale du secteur ambulatoire est inférieure à 1/1000 dans de nombreux endroits. En milieu rural (secteur ambulatoire), les généralistes sont mieux représentés que les médecins spécialistes. Comme on pouvait s’y attendre, la densité de médecins spécialistes ambulatoires dans les communes urbai­nes est donc beaucoup plus élevée que dans les communes rurales (fig. 4). Entre 2008 et 2017, la densité médicale a évolué différemment en soins primaires ou en médecine spécialisée. Cette dernière a enregistré une augmentation (6,2% en moyenne annuelle) depuis 2012/2013, au terme de la clause du besoin (limitation des ouvertures de cabinets). Les changements sont moins marqués en soins primaires (fig. 5).
Figure 3: Densité des médecins ambulatoires en soins primaires par arrondissement en 2017.
Figure 4: Densité des médecins spécialistes installés en ambulatoire par arrondissement en 2017.
Figure 5: Densité des médecins installés en pratique privée, 2008–2017.

Vue d’ensemble de la formation ­prégraduée et postgraduée

En 2017, 4668 étudiants étaient inscrits à une formation bachelor (1745 hommes, 2923 femmes) et 3246 étudiants à une formation master (1397 hommes, 1849 femmes) en médecine humaine [2].
En 2018, 1029 étudiants ont obtenu leur diplôme fédéral en médecine humaine. La même année, la Commission des professions médicales (MEBEKO) a reconnu 3292 diplômes étrangers [3].
En 2018, 1434 médecins ont obtenu un titre fédéral de spécialiste (56,5% de femmes) et la MEBEKO a reconnu 1392 titres de spécialistes étrangers [3]. Pas moins de 65,5% des titres de formation postgraduée reconnus concernent le domaine de la médecine spécialisée. Au moment de terminer leur formation postgraduée ou plus exactement d’obtenir leur premier titre fédéral de spécialiste, les médecins sont âgés en moyenne de 36,2 ans (35,9 ans pour les femmes et 36,5 pour les hommes). La part de titres délivrés dans les disciplines généralistes (médecine interne générale, pédiatrie et titre de médecin praticien) atteint 37,5%.
Enfin, 42,5% des médecins qui ont obtenu un titre de spécialiste en 2018 sont au bénéfice d’un diplôme de médecin étranger. Ils viennent des pays suivants: Allemagne 51,4%; Autriche 10,8%; Italie 10,7%; France 5,4%; Grèce 3,8% (autres pays: 17,9%).

Médecine interne générale: la ­spécialisation la plus répandue

La médecine interne générale est la spécialisation la plus répandue (22,1% des médecins en exercice), suivie de la psychiatrie et psychothérapie (10,2%), de la gynécologie et obstétrique (5,1%), de la pédiatrie (5,0%) et de l’anesthésiologie (4,1%).
Les spécialisations dans lesquelles la part de femmes est la plus élevée sont la psychiatrie et psychothérapie d’enfants et d’adolescents (64,7%), la gynécologie et obstétrique (62,9%) et la pédiatrie (62,9%). Les hommes sont plus nombreux que les femmes dans les spécia­lisations chirurgicales (chirurgie thoracique 94,3%, chirurgie orale et maxillo-faciale 92,3%, chirurgie ­orthopédique 90,0%, chirurgie vasculaire 87,7%, chirurgie cardiaque et vasculaire thoracique 87,7%, neurochirurgie 85,7%, urologie 85,0%).
3729 médecins hommes et 1582 médecins femmes sont porteurs de plusieurs titres. Le titre le plus fréquent parmi eux est celui de médecine interne générale (3728). On retrouve le plus grand nombre de porteurs de plusieurs titres en cardiologie (615), médecine intensive (593) et rhumatologie (384).

Plus d’un tiers de médecins étrangers

Pas moins de 13 266 médecins (35,4%) en exercice dans notre pays sont d’origine étrangère (titulaires d’un ­diplôme de médecin étranger) (fig. 6). Par rapport à l’année précédente, ce pourcentage a de nouveau augmenté de 1,3 point de 34,1 à 35,4%. Dans le secteur ambulatoire, la part de médecins étrangers se monte à 31,1% contre 39,9% dans le secteur hospitalier. Avec respectivement 44,3 et 47,4% dans les secteurs ambulatoire et hospitalier, la part des femmes au bénéfice d’un diplôme de médecin étranger est inférieure à celle des hommes dans les deux secteurs (55,7 et 52,6%). La ma­jorité des médecins étrangers provient d’Allemagne (53,8%), d’Italie (8,8%), de France (6,7%) et d’Autriche (6,1%).
Figure 6: Evolution du nombre de médecins au bénéfice d’un diplôme de médecin étranger qui exercent en Suisse, 2008–2018.

Les hommes ont des taux d’activité plus élevés

Les médecins ont travaillé en moyenne 8,8 demi-journées (1 demi-jour = 4 à 6 h) (tab. 4) par semaine en 2018. Dans le secteur ambulatoire, le taux d’activité moyen est de 8,1 demi-journées, soit plus d’une demi-journée de moins que dans le secteur hospitalier (9,5 demi-journées). Le taux d’occupation moyen des femmes médecins (en ambulatoire: 6,9; en hospitalier: 8,8 demi-journées) est nettement inférieur à celui de leurs collègues masculins (en ambulatoire: 8,8; en hospitalier: 10,1 demi-journées).
Tableau 4: Taux d’activité moyen par secteur et par genre en 2018, en demi-journées par semaine (n = 10 676).
 Femmes HommesTotal
Secteur ambulatoire6,98,88,1
Secteur hospitalier8,810,19,5
Autre secteur 7,79,08,5
Total7,69,28,8
Par rapport à 2008, le taux d’activité moyen est passé de 9,0 à 8,8 demi-journées (2018). Cette baisse est beaucoup plus marquée dans le secteur ambulatoire (2008: 8,7; 2018: 8,1 demi-journées) que dans le secteur hospitalier (2008: 9,9; 2018: 9,5 demi-journées).

Proportion de femmes plus faible ­au ­niveau des médecins-cheffes

81,8% des 19 331 médecins du secteur ambulatoire sont propriétaires ou propriétaires associés de leur cabinet médical; 5,3% sont engagés en tant qu’assistant ou spécialiste au cabinet médical. Avec 52,8%, le groupe des médecins en formation (médecins-assistants) est le plus important du secteur hospitalier. Dans ce même secteur, comme on peut s’y attendre, le nombre de médecins occupant un poste à responsabilité diminue plus le degré hiérarchique est élevé. Le taux de chefs de clinique est de 18,7%, de médecins adjoints de 12,2% et de médecins-chefs de 8,8%. Le nombre de femmes prédomine uniquement chez les médecins-assistants (58,6%), et ne fait ensuite que diminuer pour atteindre 47,9% chez les chefs de clinique, 24,5% chez les médecins adjoints et 12,4% chez les médecins-chefs.
Dans le secteur ambulatoire, les médecins exercent principalement en cabinet individuel (52,2%). Depuis 2008, ce taux a diminué de 11%. Les femmes exercent un peu plus rarement en cabinet individuel (44,1%) qu’en cabinet double ou cabinet de groupe (55,9%). Chez les hommes, la part de médecins dans un cabinet individuel est légèrement plus élevée à 57,1%. Enfin, un cabinet de groupe compte en moyenne 4,2 médecins.

Amélioration des données

Comme dans les précédentes publications de la statistique médicale de la FMH, la proportion de médecins étrangers a continué d’augmenter en 2018, il existe des différences régionales dans l’offre de soins ambulatoires et les hommes ont un taux d’activité plus élevé que celui de leurs consœurs. D’autres sources de données, comme l’International Policy Survey [4, 5], permettent de mieux comprendre la situation des soins ambulatoires. Ce rapport confirme notamment la bonne disponibilité des fournisseurs de soins primaires en Suisse, mais montre également une tendance à la baisse. Seulement 20% des médecins de plus de 60 ans ont un successeur. L’enquête fait état de chiffres compatibles avec ceux de la FMH et rappelle que le taux d’occupation diminue et la tendance à exercer dans un cabinet de groupe augmente.
Les statistiques sur les cabinets médicaux et les centres ambulatoires (MAS) de l’Office fédéral de la statistique (OFS) [6, 7] améliorent l’ensemble des données disponibles sur les soins ambulatoires. Le relevé MAS a été réalisé pour la première fois en 2016/2017 et fournit des informations relatives au personnel, à la forme juridique des cabinets, aux données financières et à l’infrastructure. La comparaison des données du relevé MAS 2015 et des données collectées par les médecins montre que des sources de données différentes arrivent à des résultats comparables [8].

Base de données

La statistique médicale de la FMH est établie en fin d’année (jour de référence: 31 décembre de l’année concernée). La banque de données de la FMH (n = 37 525) contient les caractéristiques principales de la démographie médicale telles que l’âge, le sexe, la nationalité et le lieu où le médecin exerce sa profession. Les données concernant l’activité professionnelle (taux d’activité, structures des cabinets, etc.) reposent sur les données autodéclarées recueillies au moyen d’un questionnaire sur le portail des membres myFMH (échantillon myFMH). Ce sondage a été réalisé pour la première fois en 2008 avec une participation de 2564 médecins. Depuis cette date, le nombre de participants a augmenté chaque année en moyenne de près de 1500 médecins. Aujourd’hui en 2018, cet échantillon myFMH contient les données de plus de 16 951 médecins, qui ont été comparées aux données de l’ensemble de la population de médecins en exercice en Suisse (sexe et secteur). On a ainsi constaté que le secteur hospitalier et les femmes du secteur hospitalier étaient sous-représentés dans l’échantillon (différence >10% par rapport à l’ensemble de la population). Pour minimiser ce biais, les chiffres par secteur et par sexe ont été analysés séparément ou pondérés en conséquence.
Pour que ces données restent fiables et significatives, il est important que les médecins participent activement aux relevés. La FMH tient à les remercier pour leur ­engagement et rappelle qu’elle utilisera les données pour améliorer les conditions cadres des soins de santé pour le corps médical et la société.
Poster – clair et compact: si vous souhaitez avoir un aperçu de la statistique médicale de la FMH sous forme compacte, ­n’hésitez pas à commander notre poster à l’adresse www.fmh.ch ou par courriel à ddq[at]fmh.ch
Glossaire (par ordre alphabétique)
Activité principaleEst considéré comme activité principale le secteur dans lequel le médecin exerce la majeure partie de son activité.
Autre secteurFont partie d’un autre secteur les activités de médecins ne relevant ni du secteur ­ambulatoire ni du secteur hospitalier, p. ex. professeurs, privat-docents, médecins engagés par des assurances, etc.
Cabinet à deux médecins ou de groupeUtilisation d’appareils, d’équipements ou de locaux par deux ou plusieurs médecins.
Cabinet individuelUtilisation d’appareils, d’équipements ou de locaux par un seul médecin.
CantonLe canton pris en compte est celui dans lequel le médecin exerce son activité principale. S’il n’a rien indiqué à ce sujet, c’est le canton de l’adresse de contact qui est pris en compte.
Discipline principaleLa discipline principale d’un médecin correspond au titre de spécialiste dans le cadre duquel il exerce la majeure partie de son activité médicale (d’après son autodéclaration et les règles prédéfinies).
Médecins du secteur ambulatoireMédecins qui exercent leur activité principale dans le secteur ambulatoire.
Médecins du secteur hospitalierMédecins qui exercent leur activité principale en milieu hospitalier.
Médecins d’un autre secteurMédecins qui n’exercent leur activité principale ni dans le secteur ambulatoire
ni en milieu hospitalier.
Réseaux de médecinsLes réseaux de médecins sont des organisations formées par des prestataires de soins et assurant la couverture médicale. Sur la base d’une collaboration contractuelle tant mutuelle qu’avec des fournisseurs et des organismes extérieurs au réseau, ils fournissent des prestations de santé axées sur les besoins des patients. Cette ­collaboration repose sur un processus thérapeutique convenu par contrat, des structures organisationnelles entrepreneuriales et une culture commune de la prise en charge des patients.
Secteur ambulatoireFont partie du secteur ambulatoire les consultations données et les soins dispensés par des médecins en cabinet individuel ou de groupe. Les patients sont généralement traités de manière ambulatoire ou à leur domicile (visites à domicile). Font également partie du secteur ambulatoire les activités des médecins consultants privés dans les hôpitaux ou dans des dispensaires, des infirmeries ou des établissements analogues attachés à des entreprises, des écoles, des homes pour personnes âgées, des organisations syndicales et des confréries (cabinet médical indépendant ou semblable) (source: OFS).
Secteur hospitalierFont partie du secteur hospitalier les traitements médicaux, diagnostics, soins, interventions chirurgicales, analyses, services d’urgence et activités de formation pré­graduée, postgraduée et continue, etc. dans les hôpitaux. Font également partie du secteur hospitalier les foyers protégés avec un encadrement social 24 h sur 24 accueil­lant des enfants, des personnes âgées et des groupes de personnes dont l’autonomie est limitée (source: OFS).
Taux d’occupationLe taux d’occupation est indiqué en demi-jours. Un demi-jour correspond à un ­volume de travail de 4 à 6 heures. Un emploi à plein temps correspond à un taux d’occu­pation hebdomadaire moyen de 10 demi-jours.
Traitements ambulatoiresen milieu hospitalierTous les traitements qui ne sont pas réputés hospitaliers ou semi-hospitaliers.
Traitements hospitaliersen milieu hospitalierSéjours à l’hôpital d’au moins 24 heures pour des examens, des traitements et des soins. Séjours à l’hôpital de moins de 24 heures, au cours desquels un lit est occupé durant une nuit. Séjours à l’hôpital en cas de transfert dans un autre hôpital ou en cas de décès.
FMH / division DDQ
Elfenstrasse 18
Case postale 300
CH-3000 Berne 15
Tél. 031 359 11 11
ddq[at]fmh.ch
4 Obsan Dossier 50. Médecins de premier recours – Situation en Suisse, tendances récentes et comparaison internationale. Analyse de l’International Health Policy Survey 2015 du Commonwealth Fund sur mandat de l’Office fédéral de la santé publique.
7 Clausen F. Statistiques sur les cabinets médicaux et les centres ambulatoires (MAS). Les cabinets médicaux et centres ambulatoires en 2015. Neuchâtel: Office fédéral de la statistique; 2018.
8 Kraft E. La Confédération et la FMH arrivent au même résultat. Bull Med Suisses. 2018;99(43):1480–1.